Puis, sur un coup franc qui suivait une faute de Planus, Didot dépose le ballon sur la tête de Capoue laissé seul au second poteau (55e minute). Carasso ne peut rien faire sur cette tête croisée. Tout le symbole d’une défense complètement approximative.

Du côté des joueurs bordelais, on note la prestation courageuse d’Anthony Modeste, esseulé une fois de plus sur le front de l’attaque, mais qui s’est battu et n’a pas hésité à décrocher pour donner un coup de main à son milieu de terrain qui avait sombré. Qu’il est loin le temps où Wendel terrorisait les défenses de Ligue 1 avec sa patte gauche. Une fois de plus, Wendel a été transparent. Et que dire de Fahid Ben Khalfallah, désespérant de mauvaix choix et de maladresse technique, sorti à l’heure de jeu ?

Irréprochables dans l’engagement, très bons au pressing et guidés par un Didot inspiré et un Sissoko sérieux, les Toulousains ont mérité leur succès. Les Girondins enchainent leur 11e défaite de la saison, pour autant de victoires. Un bilan plus que mitigé, et qui écarte définitivement Bordeaux de ses ambitions européennes.

3 COMMENTAIRES

  1. De toute façon c'était prévisible, Toulouse n'est pas un "gros" du championnat et nos starlettes ne montrent leur vrai visage que contre les équipes du haut de tableau…Et c'est pas plus mal de pas pouvoir accrocher la Ligue Europa…Quand on voit l'équipe qu'on a, autant pas aller se ridiculiser devant toute l'Europe !!

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