LA MONDIALISATION : POUR OU CONTRE ?

Va-t-on trop loin ? Faut-il en avoir peur ? 
Progressiste ou réactionnaire ? 
Nous sommes en plein dedans !
Tout d’abord pour les uns, la mondialisation exporte la richesse dans les pays pauvres. Pour les autres, elle ne fait qu’y exporter la misère. Faut-il arrêter la mondialisation? Est-ce possible ? Est-ce souhaitable? Deux points de vue qui font débat à ce jour.
Depuis le début des années 1990, la « mondialisation » désigne une nouvelle phase dans l’intégration planétaire des phénomènes économiques, financiers, écologiques et culturels. Un examen attentif montre que ce phénomène n’est ni linéaire ni irréversible. La croissance exponentielle de la circulation des biens, des idées, des institutions et des personnes à laquelle nous assistons aujourd’hui en fait partie chaque jour.
Elle entraîne également un développement et un recul de la pauvreté en permettant le décollage économique des nouveaux pays industrialisés (Asie) et des pays émergents elle a crée un classe moyenne. Cependant la proportion des personnes substituent avec moins de 1,25 dollars/jour est passée de 46% en 1990 à 27 en 2005 et normalement 15% en 2015 selon ONU ;
– Cependant elle aggrave les inégalités à toute échelle en favorisant le développement de certaines régions ou de certains groupes socials.
– Elle repose sur un dumping social. Les délocalisions détruisent des emplois peu qualifiés, baisser les salaires et créer de nouveaux pauvres.
Les effets environnementaux :
– Bien qu’elle soit génératrice de progrès, elle repose sur un modelé de croissance fortement conso d’espaces et de ressources naturelles. La pression sur ces dernières n’a jamais été aussi forte. Le découplage semble être une mesure à développer pour freiner ces problèmes.
– Elle accélère la rupture de l’équilibre environnemental de la place en accentuant les risques sanitaires, la densité des flux aériens qui verront la propagation de virus. Le modèle de com de masse et l’urbanisation accrue on multiple la production de déchets polluants et les kilomètres alimentaires.
– Même si elle a permis l’émergence d’une conscience écologique, de nombreux débats persistent sur la gestion de ces risques et des Ressources à l’échelle du monde. Il est difficile de trouver un indicateur qui fasse consensus
Les effets culturels :
– Dû à l’explosion des flux et du développement des médias, une culture mondialisée se développe. Avec la diffusion d’images, d’objet de conso et de modes de vie identiques. Cela provient de l’influence du modelé culturel occidental américain. Ils exposent à eux seuls autant de séries télévisées que le reste du monde réunit.
Vous l’aurez bien compris, sans faire de la politique, n’étant ni communiste ni capitaliste, je pense que l’on vivait mieux avant, l’homme à perdu ces fondamentaux, ces repères, nous sommes devenus des zombies consommateurs bouffant du Mcc Do devant hanouna, abrutis par la tv réalitée, une société individualiste à celui qui écrasera l’autre et j’en passe, nous en avons oublié les principes de bases, l’argent à pris encore plus que jamais une grande place dans ce monde, le sport en est aussi le reflet malheureusement.
Je pense que l’on va trop vite trop Loin, on vit dans une société de barge meme si il ya eu certains progrès il faut l’admettre.
Donc oui je suis réac’, cette mondialisation est inquiétante et oui je suis contre, et vous ?

 

ESTEBAN