ANDRE_180311On l’entendait peu depuis son arrivée, André a décidé de laisser entendre son avis sur sa situation à Bordeaux. Cette semaine, après Sud Ouest hier, il accorde aujourd’hui une interview à l’Equipe :

« J’ai confiance en moi. Je travaille dur. Je suis venu pour faire mes preuves, m’imposer et réussir, comme au Brésil. Je suis condamné à réussir en Europe. (…) Je ne suis pas un tocard ! Je suis sûr de ma force. J’ai entendu parler de l’arrivée de Raï au Paris-SG (1993-1998). Comme lui, ou moi, la plupart des joueurs mettent six mois à s’habituer. Ça fait partie de l’apprentissage. »

On en apprend également plus sur ses passions en dehors du terrain : « Je ne suis pas un fêtard mais un casanier. J’ai trouvé une maison au Haillan, à côté du centre d’entraînement. Je ne connais pas la vie bordelaise. Je ne connais que le supermarché Leclerc (cf Saint Médard-en-Jalles !). »
Egalement au sujet de sa coiffure iroquoise : « Vous ne savez pas qu’elle est à la mode au Brésil? (…) Elle ne m’empêche pas de marquer de la tête. Ca amortit le ballon, même. Dès que je vais jouer, vous me parlerez plus de mes buts que de ma coiffure. »
Et si Bordeaux n’était pas qualifié en coupe européenne l’an prochain : « Ca m’embêterait. Mais je suis prêt à rester quand même. Tout mais pas retourner en Ukraine! Il fait trop froid là-bas. »

via L’Equipe