tremoulinasLors d’une interview pour le site officiel, Benoît Trémoulinas est revenu sur le match nul obtenu jeudi soir face à Belgrade. Le latéral gauche s’est également exprimé sur le début de saison des marines et blancs avant d’évoquer la rencontre face à Paris.

Bonjour Benoît, peux-tu revenir pour nous sur le match face à l’Etoile Rouge de Belgrade ?

C’était un match assez physique, nous avons vu une équipe avec de l’envie. Cela s’est vu par l’impact qu’ils ont mis sur le terrain. C’était un match compliqué, nous avons eu du mal à poser notre jeu. Ils nous ont harcelé tout le match et cela a été très difficile.

As-tu ressenti l’ambiance et l’intensité d’un match de coupe d’Europe ?

Oui nous avons vraiment ressenti que c’était un match d’Europa League parce que nous avons vu une équipe prête d’entrée. Nous l’avons senti dans les duels et dans l’impact.

Quelles seront les choses à améliorer pour le match retour ?

Je pense qu’il faudra être encore plus présent dans les duels et essayer de poser un peu plus notre jeu.

Vous restez sur 2 victoires en 2 matches de championnat, quels enseignements tires-tu de ces 2 premières rencontres ?

2 victoires en 2 matches, c’est plutôt une bonne chose pour commencer. Nous nous attaquons à un gros client dès dimanche soir. Paris a besoin de gagner pour lancer sa saison. Nous nous attendons à un match très compliqué.

L’an passé vous aviez joué à 5 en défense, penses—tu que l’utilisation des couloirs peut être une solution face à Paris ?

Je ne sais pas, nous verrons cela avec le coach.

Personnellement, tu es un latéral offensif, ce système à 5 derrière convient-il à ton style de jeu ?

Oui c’est sûr, mais c’est un système qui demande beaucoup d’efforts car il faut aussi se replacer.

Ce week end vous avez un gros déplacement au Parc des Princes, quels sont les clés du match ?

Je ne sais pas. Honnêtement, je pense que nous verrons cela en interne.

1 COMMENTAIRE

  1. un match compliqué… peut-être. mais un match [b]nul[/b], surtout. les gars du péhessegé ont dominé, sans jamais être des plus dangereux… hé bé !

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