Fin février 2011, Michel Pavon ancien capitaine de l’équipe bordelaise championne de france 99, avait démissionné de son poste d’adjoint de Jean Tigana aux Girondins de Bordeaux. Trois ans ont passés, et l’ancien de la maison girondine a livré une interview au quotidien L’Equipe. Pavon revient notamment sur sa coupure totale avec le monde du football durant de nombreux mois, préférant d’ailleurs s’investir dans le club de rugby de Libourne. « Pendant trois ans, je ne voulais plus avoir affaire au foot. Je n’étais pas dégoûté, mais je ne me retrouvais pas là-dedans, ça ne me correspondait pas. »
Concernant la fin de son expérience avec les Girondins de Bordeaux, Pavon ne souhaite pas évoquer directement le cas de Jean Tigana, dont on connaissait les relations pour le moins tendues, et préfère se justifier de son départ : « Je ne connais pas ce monsieur (ndlr: Jean Tigana). On m’a fait porter des chapeaux alors que … Bordeaux, c’est mon club. Quand j’ai vu ce qu’on allait en faire, j’ai préféré partir. Oui, j’ai estimé qu’on envoyait le club dans le mur. Je ne voulais pas cautionner. Cela m’a beaucoup affecté. Je me suis effacé. J’ai aimé ce club. Je n’ai pas voulu batailler. »
Aujourd’hui, il a retrouvé le banc de touche en prenant les rênes de Blanquefort, club de Division d’Honneur. Se verrait-il un jour reprendre le chemin d’un club professionnel ? Pavon ne ferme pas la porte …
« Il faudrait que j’arrondisse les angles. Quand c’est noir, je dis que c’est noir, quand c’est blanc, je dis que c’est blanc. Après, quand je travaille pour un club, je travaille pour un club. Je ne travaille pas pour ma gueule, ni pour ma carrière, ni pour mon contrat. Mais voilà, je suis entier. C’est moi. Et je crois que cela ne plait pas dans un milieu de plus en plus lisse, de plus en plus aseptisé. Je le regrette. La société n’est pas lisse. Le foot ne peut pas l’être. »
Pavon, un leader de jeu au tempérament bien trempé, dans la lignée des Marcel Dib, Bernard Pardo et autre René Girard… qui ont définitivement déserté les terrains de Ligue 1 sous le scapulaire, et depuis trop longtemps déjà !
(source G4E)
AH juste envie de dire à cette tâche pro-triaud que si il avait fait 1/4 de la carrière de MONSIEUR JEAN AMADOU TIGANA , il aurait été un bon joueur !!!
quel pathétisme…..il a juste était là au bon moment , car a part ce titre il a fait quoi ce type ??? un bon joueur de L1 comme le son actuellement les Didot et Balmont s’en plus !!!
Dans le Mur de la honte il s’est écrasé !!! Reste ou tu es charlot….surtout reviens jamais
Quand tu auras cela tu pourras ouvrir ta grande gueule !!!
Tigana :
Vainqueur de l’Euro 1984.
Troisième de la Coupe du Monde 1986 au Mexique.
Quatrième de la Coupe du Monde 1982 en Espagne.
International français (52 sélections, 1 but) entre 1980 et 1988.
En club[modifier | modifier le code]
Champion de France : 1984, 1985, 1987 (Bordeaux), 1990 et 1991 (Marseille).
Vainqueur de la Coupe de France : 1986 et 1987 (Bordeaux).
Distinctions personnelles[modifier | modifier le code]
Révélation française de l’année France Football : 1980.
Joueur français de l’année France Football : 1984.
Onze d’argent : 1984.
Onze de bronze : 1987.
2e au classement Ballon d’or : 1984.
On ne saura jamais toute la vérité sur ces événements, mais si il y a bien une chose dont je suis certain, c’est qu’on n’a pas respecté Jean Tigana !!!
On ne saura jamais toute la vérité sur ces événements, mais si il y a bien une chose dont je suis certain, c’est qu’on n’a pas respecté Jean Tigana !!!
En ce qui concerne son parcours bordelais, on peut dire de lui que ce fut un bon joueur surtout comme meneur d’hommes,et un mauvais entraineur et adjoint (de Jean Tigana).
Que dire de plus?????
Que personne n’est parfait ?
+1
En lisant son interview, je partage ton avis. Personne n’est parfait et surtout pas lui!!!!!!!!
😉
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