SoFoot, qui décidément aime bien interrogé les joueurs à propos de Noël, a réalisé une interview décalée avec l’ancien portier bordelais, Ulrich Ramé.
Ulrich Ramé, Père Noël ou Père Fouettard ?
Sans hésiter, Père Noël !
Déguisé en Père Noël, ça donnerait quoi ?
Ça serait certainement très marrant ! Jamais fait pour le moment !
Sur le sapin : plutôt boules ou guirlandes ?
Les deux !
Un Noël sans neige, c’est comme …
En fait, à Sedan, il y en a un peu ! Et puis nous sommes restés bloqués à Guingamp à cause… de la neige. Donc il y en a vraiment !
Si on vous offre un traineau, vous en faites quoi ?
Je l’essaye, mais avec quoi, je ne sais pas… J’aime les sports d’hiver, je suis plutôt ski. Mais j’ai toujours évité durant ma carrière. On n’est jamais à l’abri de rien !
Le pire cadeau de Noël reçu ?
Un truc de bricolage : une perceuse. Ça voulait tout dire ! J’aime bien bricoler, mais offrir ça ce jour-là, c’est quand même particulier. Je me souviens, j’étais jeune et je venais d’entrer dans une nouvelle maison. C’était le moment opportun… mais une idée un peu rigolote par rapport aux choses que l’on peut attendre à Noël !
Le plus beau cadeau offert ?
Un bijou… mais je n’attends pas cette fête pour faire des cadeaux !
Le plus beau cadeau reçu ?
Celui d’un de mes fils : un porte-clefs avec marqué dessus « Super Papa ».
Noël, trop commercial ?
Je trouve que Noël est plus commercial, par exemple, que la Saint Valentin. La Saint Valentin, c’est marrant pour les vieux couples. Noël, c’est plus un moment de convivialité extrême. Mais je trouve ça de plus en plus long. Maintenant, ça commence début octobre pour se terminer fin janvier !
Un mot sur le FC Santa Claus, l’équipe du Père Noël ?
Je serais curieux de voir leur équipement ! Je me demande aussi s’ils font des cadeaux lors de chaque match… Si je peux leur donner un conseil : essayer de faire des tournées façon Harlem Globetrotters.
A quand un gardien de but avec des moufles ?
Sur certains buts casquette, les moufles, on les a déjà !
Dans la famille Ramé, le soir de Noël, qui passe par la cheminée ?
Ça dépend des années. Parfois, c’est par la fenêtre !
Au menu du réveillon, plutôt frites, dinde ou foie gras ?
Plutôt dinde !
Un mot sur vos premiers mois passés au CSSA ?
Je suis reparti de zéro et je suis arrivé avec l’envie de réussir un nouveau challenge, à la fois personnel et sportif. A Sedan, il fallait continuer le chantier de la saison dernière. Pour le moment, nous sommes dans le bon wagon. La suite va être difficile car beaucoup d’équipes se valent. Cela va se jouer sur la régularité.
Vous aviez failli tout arrêter …
Je me posais des questions. Je voulais continuer, mais en jouant. Et j’attendais d’avoir les opportunités. A Bordeaux, sur la fin, j’ai passé un an et demi sans jouer ou presque. L’entame de ce nouveau championnat est rassurante pour moi. Et puis je reste compétiteur et passionné par ce que je fais.
Ce que l’on peut souhaiter au CSSA pour 2012 ?
De faire mieux qu’en 2011 : aussi bien sur la fin de la saison dernière que sur le début de celle-ci…