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Transferts : Un acheteur pour Fernando Cavenaghi ?

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cavenaghi-majorque

cavenaghi-majorqueTout au long de sa carrière, Fernando Cavenaghi aura connu des hauts et des bas, le buteur argentin ne parvenant pas à stabiliser ses bonnes performances.

Après avoir été indésirable à Bordeaux et un exil à Majorque pour découvrir la Liga, il a rejoint l’Internacional Porto Alegre, au Brésil, en janvier dernier pour un nouveau prêt. Bilan : 3 matchs, 0 but.

Aujourd’hui, les rumeurs l’envoit de retour en Europe, où d’après le Corriere Dello Sport (via Foot Mercato), El Torito serait une piste pour la Lazio Rome. 
L’actuel 5e du Calcio, qui pourrait disputer une coupe européenne la saison prochaine, lui offrirait une ultime occasion de se relancer. D’autant que Bordeaux verrait d’un bon oeil les 2,5 millions d’euros mis à prix pour Cavenaghi. Un beau gachis…

Fin de carrière annoncée pour Ulrich Ramé

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ulrich-rame-jeune

ulrich-rame-jeuneL’avenir d’Ulrich Ramé aux Girondins semble de plus en plus clair. Alors que les rumeurs l’envoyait faire une dernière pige dans sa ville natale de Nantes, son conseiller, Maître Philippe Sol, a déclaré à Sud Ouest qu’il prendra sa retraite à la fin de la saison :

« C’est non, Ulrich Ramé n’a nullement l’intention de venir à Nantes. Il prendra sa retraite à la fin de la saison et son contrat avec les Girondins de Bordeaux prévoit un accord de reconversion. »

Reste à savoir quel rôle prendrait le vétéran girondin de 38 ans. Sud Ouest affirmait hier que Ramé n’était pas intéressé par l’entraînement des gardiens.

André « ne connait que le supermarché Leclerc » !

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ANDRE 180311

ANDRE_180311On l’entendait peu depuis son arrivée, André a décidé de laisser entendre son avis sur sa situation à Bordeaux. Cette semaine, après Sud Ouest hier, il accorde aujourd’hui une interview à l’Equipe :

« J’ai confiance en moi. Je travaille dur. Je suis venu pour faire mes preuves, m’imposer et réussir, comme au Brésil. Je suis condamné à réussir en Europe. (…) Je ne suis pas un tocard ! Je suis sûr de ma force. J’ai entendu parler de l’arrivée de Raï au Paris-SG (1993-1998). Comme lui, ou moi, la plupart des joueurs mettent six mois à s’habituer. Ça fait partie de l’apprentissage. »

On en apprend également plus sur ses passions en dehors du terrain : « Je ne suis pas un fêtard mais un casanier. J’ai trouvé une maison au Haillan, à côté du centre d’entraînement. Je ne connais pas la vie bordelaise. Je ne connais que le supermarché Leclerc (cf Saint Médard-en-Jalles !). »
Egalement au sujet de sa coiffure iroquoise : « Vous ne savez pas qu’elle est à la mode au Brésil? (…) Elle ne m’empêche pas de marquer de la tête. Ca amortit le ballon, même. Dès que je vais jouer, vous me parlerez plus de mes buts que de ma coiffure. »
Et si Bordeaux n’était pas qualifié en coupe européenne l’an prochain : « Ca m’embêterait. Mais je suis prêt à rester quand même. Tout mais pas retourner en Ukraine! Il fait trop froid là-bas. »

via L’Equipe

Transferts : Vers un départ de Wendel ?

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WENDEL 180810

WENDEL_180810Alors que son contrat expire en fin de saison, Wendel est en pleine négociation de contrat avec son agent au Haillan.

Car Bordeaux pourrait rencontrer de nouvelles difficultés dans cette affaire. Dès l’été dernier, Triaud avait proposé au milieu brésilien de rempiler deux ans de plus avec 10 000 euros de plus par mois, soit 110 000 euros brut mensuels.
Ce qui semble déplaire au joueur, qui a la possibilité d’aller voir ailleurs car libre de tout contrat en cas d’échec des négociations.

Cependant, les performances de Wendel cette saison ne parlent pas en sa faveur…

via L’Equipe

André veut se réveiller

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ANDRE 180311

ANDRE_180311Arrivé il y a bientôt deux mois avec des espoirs de sauveur, André n’a toujours pas trouvé le chemin des filets.
Le pote de Neymar et Ganso garde tout de même bon espoir :

« Ce n’est jamais facile d’arriver en cours de saison. Mais je suis prêt. Je suis à mon poids de forme. Et si Tigana m’accorde sa confiance, je ferai le maximum pour la justifier.
En France, les défenses sont beaucoup plus serrées qu’au Brésil. Je dois encore progresser pour être plus efficace dans les surfaces adverses. Bien sûr, Bordeaux a des problèmes dans le jeu. Mais je trouve qu’on progresse et j’espère contribuer à en améliorer la qualité. »

via Sud Ouest

Alou Diarra, patron puissance Bleus

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diarra-france

diarra-franceAlors qu’on parle de moins en moins de lui aux Girondins la saison prochaine, Alou Diarra est à Clairefontaine actuellement en stage avec l’équipe de France.
Loin de lui les difficultés du Haillan, il aborde les retrouvailles de Clairefontaine et la gestion du capitanat :

Alou, que vous évoque le retour de Franck et de Patrice Evra en équipe de France ?
De bons souvenirs. On est content de les revoir ici. Leur sélection, ils ne l’ont pas volé et je suis persuadé que le groupe continuera à bien vivre avec eux. Je n’ai aucun doute à ce niveau-là. Ils feront les efforts qu’il faut pour s’intégrer et ces retours ne seront qu’un plus selon moi pour ce jeune groupe.

Avez-vous eu l’occasion de discuter avec eux de manière approfondie ?
J’ai eu une discussion avec Patrice. Je ne l’avais pas vu depuis la Coupe du Monde, même si l’on s’était parlé de temps en temps au téléphone. J’ai discuté avec lui en tête à tête et c’est quelqu’un que j’apprécie. On a parlé surtout du futur. C’était une discussion constructive. J’aurai aussi une discussion avec Franck.

Aujourd’hui, c’est vous le capitaine de cette équipe de France. Cela change-t-il quelque chose à vos rapports et vous ont-ils regardé différemment ?
Non, on s’entendait très bien auparavant et le fait que je porte le brassard ou pas ne change rien à cela.

Seriez-vous déçu cependant de ne pas conserver le brassard en équipe de France ?
Ce brassard représente énormément de choses. C’est une reconnaissance, un honneur, une énorme fierté, et des responsabilités. Pour moi, c’est un immense bonus d’être capitaine, mais ce brassard n’est pas vital. On est plusieurs joueurs d’expérience à pouvoir postuler.

Vu la saison que vous vivez avec les Girondins, avez-vous craint à un moment de ne pas être sur cette liste ?
J’ai toujours l’objectif de la sélection dans un coin de ma tête et je sais que pour y être, je dois être performant en club. Cette année, à Bordeaux, on est dans une période de transition. Ce n’est pas évident. On vit une saison difficile. On manque de régularité mais quelque part, je m’y attendais.

Que pensez-vous de la volonté de Franck Ribéry d’avoir une explication avec Yoann Gourcuff ?
Je pense que c’est une bonne initiative. Pour le bien de l’équipe de France, les deux doivent se rapprocher et régler leurs soucis. Il faut avancer et pour cela, c’est bien qu’il y ait ce genre d’explication, comme ça, il n’y aura plus de non-dits.

Craignez-vous qu’avec toute cette agitation, le match contre le Luxembourg ne soit totalement éclipsé ?
Non, car tout le monde a conscience dans le groupe qu’il s’agit d’un match très important, plus que celui contre la Croatie. Il fait partie des matches qualificatifs et il faut absolument prendre trois points pour conforter notre première place.

Pensez-vous pouvoir rééditer certains scores accomplis dans le passé contre cette équipe, comme des 6-0 ou 7-0 ?
Je pense qu’il faut déjà que l’on gagne. Evidemment, si on peut mettre beaucoup de buts, on ne se gênera pas pour le faire. Surtout que pour nos attaquants, cela peut leur faire du bien au niveau de la confiance. Mais l’objectif, c’est vraiment de gagner, la manière passant après.

via Sport24

Ulrich Ramé vers un départ ?

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rame-arret

rame-arretEn fin de contrat cet été, Ulrich Ramé pourrait franchir le pas d’un départ et aller voir du côté du FC Nantes, selon Le Parisien.

Avec deux apparitions au compteur en Ligue 1, le vétéran bordelais de 38 ans, qui effectue actuellement sa 14e saison, pourrait bien terminer sa carrière en Loire Atlantique, dans sa ville natale.

Ulrich Ramé semble confronté une fois de plus au choix récurrent de rempiler en guise de joker de luxe ou trouver un ultime temps de jeu dans un club en difficulté.

André, l’interrogation

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72 minutes de jeu en Ligue 1 et un tir cadré. Tel est le maigre bilan de l’attaquant brésilien des Girondins, André, depuis son arrivée fin janvier. Il aurait pu l’augmenter de quelques minutes s’il n’avait pas oublié son maillot au vestiaire, dimanche, quand Jean Tigana a souhaité le faire entrer en jeu contre Monaco.

«C’est un joueur qui a besoin de temps mais il n’en a pas, parce qu’il doit faire ses preuves», plaide son partenaire offensif, Anthony Modeste. Pourtant, quand André a débarqué à Bordeaux, il était loin d’être un inconnu pour le staff technique, qui le suit depuis plus d’un an. Jean Tigana aurait bien voulu le recruter dès son arrivée en Gironde, quand le joueur portait encore les couleurs de Santos, mais il se l’était fait souffler par le Dynamo Kiev, plus prompt à sortir son chéquier pour aligner les huit millions nécessaires.

Blabla pourquoi ??

Triaud n’a pas coaché Tigana

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triaud-tigana

triaud-tiganaSelon Sud-OuestJean-Louis Triaud aurait conseillé à Jean Tigana de sortir Alou Diarra à la mi-temps du match Bordeaux-Monaco (0-1) dimanche dernier.

Le club girondin s’insurge dans un communiqué. «L’utilisation du conditionnel ne saurait permettre l’écriture de toutes les inepties et autres contre-vérités (…) Les sous-entendus et le titre racoleur ne correspondent en rien à la réalité des faits. Le club est surpris que des journalistes professionnels puissent prendre de telles libertés avec la vérité et n’ose pas imaginer une volonté délibérée de nuire. Le Président du FC Girondins de Bordeaux profite de ce communiqué pour affirmer, s’il en était besoin, toute la confiance qu’il accorde à son capitaine et à son entraîneur».

Match face au Gabon

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Bordeaux va profiter de la trêve internationale pour organiser une opposition à huis clos le 25 mars (18h00) au stade Chaban-Delmas face à la sélection du Gabon, a-t-on appris jeudi auprès de l’entraîneur Jean Tigana.
Cette rencontre sera synonyme de retrouvailles entre Tigana et le sélectionneur du Gabon, le Franco-Allemand Gernot Rohr, son ancien partenaire aux Girondins dans les années 80.

Le huis clos de cette opposition a été instauré tant pour le public que les journalistes, a précisé le club girondin sur son site.